"Mais le voilà qui arrive, sa haute silhouette toujours noyée dans l'éclat aveuglant de la lumière.
- Tu es revenue, chuchote-t-il.
Je fais un pas vers lui.
- Où ?
- Chez toi."
Anaïa, 17 ans passés, parisienne d'origine, musicienne et passionnée de théâtre, a déménagé dans le Var l'été précédant sa rentrée à la fac. Jeune étudiante sans histoire ayant retrouvé sa copine de vacances Garance, elle rencontre alors deux séduisants garçons. Et c'est une avalanche d'énigmes qui s'abat sur la belle rousse : d'abord, ce rêve qui revient sans cesse, puis ces grains de beauté qui apparaissent sur la paume de sa main gauche, et ces phrases sibyllines, ces regards remplis de sous-entendus de la part d'Eidan et d'Enry. Le seul moyen de connaître la réponse à toutes ces questions, c'est de souvenir. Mais se souvenir de quoi ?
Ce premier tome de la courte série Phænix de Carina Rozenfeld est une réussite ! Un style simple et raffiné, une histoire hors du commun, des personnages attachants qui vous emmènent dans un monde à la fois irréel et en même temps si ordinaire. Le récit écrit à la première personne du singulier et raconté par une jeune fille qui se croyait normale, permet aux lectrices de s'identifier à l'héroïne sans problèmes, et du coup, au bout de deux pages, on se retrouve plonger dans l'histoire.
Une histoire d'amour, de la musique, du fantastique : un cocktail parfait ! Je n'ai plus qu'à acheter le second tome et vous recommander cette saga !
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